Le mannequin Stephanie Seymour peut se vanter d’avoir connu une carrière particulièrement prolifique, qui lui aura permis de régner sur les défilés durant plus de deux décennies, à l’image des supermodels de la décennie 80.

Stephanie Seymour, née Stephanie Michelle Seymour voit le jour le 23 juillet 1968 dans la ville de San Diego, située aux Etats-Unis.

Elevée par une mère qui exerce la profession de photographe, Stephanie ne met pas longtemps avant d’être elle aussi attirée par les appareils photos. Seulement, si sa mère officie derrière l’objectif, Stephanie n’entend pas se satisfaire de cette place et entend bien passer devant l’objectif. Stéphanie affirme ainsi très tôt sa volonté d’embrasser la profession de mannequin.

Dans un premier temps, elle décroche quelques contrats. A peine lancée, sa carrière prend rapidement de l’ampleur. Stephanie fait alors la rencontre du couturier Azzedine Alaïa. Ce dernier est séduit par la beauté et la fraicheur de la jeune fille. Stephanie devient très rapidement l’une des principales sources d’inspiration du créateur, l’une de ses muses. En 1982, à l’âge de 14 ans, elle se présente au concours Elite Model Management Look of the Year. Stephanie remporte triomphalement la compétition et signe dans la foulée un contrat avec la prestigieuse agence de mannequin Elite.

Stephanie est ensuite contactée par le magazine Sport Illustrated qui la sollicite pour son traditionnel numéro "spécial maillots de bain". En 1997, Stephanie intègre l’écurie des anges de Victoria’s Secret, qu’elle rejoindra à nouveau en 1998, 1999.

En 2000, elle se lance à la conquête du 7ème art et débute alors une nouvelle carrière en tant que comédienne. En 2000, elle rejoint le casting du film Pollock, réalisé par Ed Harris.

En 2001, elle fait une apparition au cours de l’un des épisodes de la série américaine New York section criminelle. Par la suite, elle continuera à plusieurs reprises de se prêter au jeu de la figuration en multipliant les apparitions au sein de différents clips de musique.

En 2007, Stephanie Seymour participe aux campagnes publicitaires de la marque Gap et de la maison de mode Salvatore Ferragamo. L’année suivante, elle est sollicitée pour les nouvelles campagnes publicitaires de Loewe et de Chantelle.

En 2012, elle s’illustre en une de l’édition française du magazine Vogue, sur lequel elle apparait aux côtés de deux autres mannequins stars Daria Werbowy et Lauren Hutton.

En 2013, Stephanie Seymour joue dans le film documentaire intitulée Mademoiselle C, qui prend le parti de décrypter le monde de la mode du point de vue de la rédactrice de l’édition française de Vogue, Carine Roitfeld alias Mademoiselle C.

En 2014, Stephanie se retrouve au centre d’une polémique lorsque paraît en une du magazine de mode Harper’s Bazar et sur laquelle elle pose vêtue de sous-vêtements noirs sexy, entourée de deux jeunes adolescents qui lacent ses cuissardes et ne sont autres que les propres fils du mannequin.

Le monde de la mode ne semble pas prêt de se lasser de Stephanie Seymour qui n’hésite jamais à revenir sous l’objectifs des photographes de mode et ce, pour notre plus grand plaisir.